Le véhicule électrique séduit et inquiète
Alors que la plupart des pays développés ou en voie de développement considèrent le véhicule électrique comme un véhicule d'avenir, les politiques en sa faveur varient fortement d'un pays à un autre : aide à la recherche, incitations fiscales, aide à l'achat…
L'engagement des gouvernements favorise l'implication des constructeurs. Si aucun n'a pris l'ascendant sur le marché, tous sont confrontés aux mêmes problématiques : coût et autonomie.
La question de l'autonomie est centrale : il est nécessaire de mettre en place des infrastructures de charge disponible, mais également d'augmenter la capacité des batteries tout en en diminuant les coûts.
En parallèle, les mentalités évoluent : les conducteurs préfèrent utiliser un véhicule plutôt que de l'acheter. Le succès de l'auto-lib' est également la preuve de cette tendance : 6 mois après son lancement, le service comptait plus de 15 000 abonnés et a dépassé le cap des 100 000 locations.
Le véhicule électrique a aujourd'hui toute sa place dans des systèmes d'auto-partage.
L'avenir du véhicule ne peut s'envisager sans prendre en compte l'évolution des mentalités (moins de besoin de possession du véhicule, place de plus en plus importante de la techno…)