En 2002, aucun UMP n'avait été investi dans la circonscription du président de l'UDF, qui comme en 2007, venait d'être candidat à l'Elysée.
Selon un député UMP, ce devrait être "une personnalité locale".
François Bayrou, arrivé troisième au premier tour de la présidentielle (18,57%), avait clairement dit qu'il ne voterait pas en faveur de Nicolas Sarkozy au second tour.
A l'UDF, on a précisé mercredi qu’ "il pourrait être envisagé" de mettre des candidats dans l'ensemble des 577 circonscriptions, y compris celles des députés UDF sortants ayant soutenu la candidature Bayrou au premier tour, mais ralliés à celle de Sarkozy au second.
Jusqu'à présent, l'UDF avait décidé de ne pas mettre de candidats dans les circonscriptions de ces derniers.
Vingt-deux députés UDF sur vingt-neuf ont soutenu M. Sarkozy au second tour.
Ces derniers n'auront pas de candidat UMP investi dans leurs circonscriptions, à partir du moment où ils confirment "leur souhait d'appartenir à la majorité présidentielle et de soutenir son projet législatif", selon l'UMP.
En revanche, l'UMP investira des candidats contre les sortants UDF n'ayant pas soutenu son candidat au second tour.
La commission de l'UMP se réunira de nouveau la semaine prochaine pour régler les derniers cas encore en suspens, notamment la 8è circonscription de Paris (une partie du XIIè arrondissement), et quelques circonscriptions d'Outre-mer.
Selon un député UMP, ce devrait être "une personnalité locale".
François Bayrou, arrivé troisième au premier tour de la présidentielle (18,57%), avait clairement dit qu'il ne voterait pas en faveur de Nicolas Sarkozy au second tour.
A l'UDF, on a précisé mercredi qu’ "il pourrait être envisagé" de mettre des candidats dans l'ensemble des 577 circonscriptions, y compris celles des députés UDF sortants ayant soutenu la candidature Bayrou au premier tour, mais ralliés à celle de Sarkozy au second.
Jusqu'à présent, l'UDF avait décidé de ne pas mettre de candidats dans les circonscriptions de ces derniers.
Vingt-deux députés UDF sur vingt-neuf ont soutenu M. Sarkozy au second tour.
Ces derniers n'auront pas de candidat UMP investi dans leurs circonscriptions, à partir du moment où ils confirment "leur souhait d'appartenir à la majorité présidentielle et de soutenir son projet législatif", selon l'UMP.
En revanche, l'UMP investira des candidats contre les sortants UDF n'ayant pas soutenu son candidat au second tour.
La commission de l'UMP se réunira de nouveau la semaine prochaine pour régler les derniers cas encore en suspens, notamment la 8è circonscription de Paris (une partie du XIIè arrondissement), et quelques circonscriptions d'Outre-mer.
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