Des couvertures retirées de la vente en Nouvelle-Zélande et en Australie
Des couvertures fabriquées en Chine sont en train d’être retirées du marché en Australie et en Nouvelle Zélande après des tests montrant un taux excessif de formaldéhyde.
Après les pyjamas, c’est donc au tour des couvertures.
Le distributeur, Charles Parsons, basé en Australie, a décidé de rappeler les couvertures de la marque Superlux, sans préciser le nombre de celles-ci.
Déjà lundi, des pyjamas ayant entraînés des brulures sur des enfants avaient fait l’objet d’une enquête diligentée par le gouvernement de Nouvelle-Zélande pour des raisons identiques.
Des responsables du gouvernement chinois se sont engagés à intensifier les contrôles de sécurité, mais ont déjà fait remarquer que les produits chinois étaient la cible d’attaques ressemblant à un protectionnisme déguisé.
Plus de 18 000 000 de jouets rappelés
Mattel, le géant du jouet, a déjà rappelé des jouets dangereux à plusieurs reprise, et en grand nombre, pour des raisons de sécurité : présence de plomb dans les peintures, aimants mal fixés.
Li Zhuoming, président exécutif de la compagnie Guangdong Provincial Toy Industry Association a déclaré mercredi que les importateurs doivent partager la responsabilité de ces rappels massifs : "Si vous payez un prix élevé pour vos achats, les usines utiliseront des matières premières de bonne qualité. Cependant, si le prix d’achat est trop bas, elles ne peuvent utiliser que des matériaux de qualité inférieure" a-t-il déclaré dans le quotidien d’état de Guangzhou, ajoutant que Mattel était responsable en dernier recours pour mener des contrôles qualité de ses produits.
Après les pyjamas, c’est donc au tour des couvertures.
Le distributeur, Charles Parsons, basé en Australie, a décidé de rappeler les couvertures de la marque Superlux, sans préciser le nombre de celles-ci.
Déjà lundi, des pyjamas ayant entraînés des brulures sur des enfants avaient fait l’objet d’une enquête diligentée par le gouvernement de Nouvelle-Zélande pour des raisons identiques.
Des responsables du gouvernement chinois se sont engagés à intensifier les contrôles de sécurité, mais ont déjà fait remarquer que les produits chinois étaient la cible d’attaques ressemblant à un protectionnisme déguisé.
Plus de 18 000 000 de jouets rappelés
Mattel, le géant du jouet, a déjà rappelé des jouets dangereux à plusieurs reprise, et en grand nombre, pour des raisons de sécurité : présence de plomb dans les peintures, aimants mal fixés.
Li Zhuoming, président exécutif de la compagnie Guangdong Provincial Toy Industry Association a déclaré mercredi que les importateurs doivent partager la responsabilité de ces rappels massifs : "Si vous payez un prix élevé pour vos achats, les usines utiliseront des matières premières de bonne qualité. Cependant, si le prix d’achat est trop bas, elles ne peuvent utiliser que des matériaux de qualité inférieure" a-t-il déclaré dans le quotidien d’état de Guangzhou, ajoutant que Mattel était responsable en dernier recours pour mener des contrôles qualité de ses produits.
Les biologistes obtiennent le feu vert du ministère de la Santé sur un accord triennal