Chirac : le recours en cas de chaos international
"On n'est pas dans l'après. Il y a trop de gens qui croient qu'on est déjà dans l'après", assure Mme Chirac, évoquant bien entendu la fin du quinquennat.
Bernadette Chirac, qui confie être "très fière d'être la femme du président de la République" et "aimer cette vie", fait valoir qu "on peut avoir des surprises".
Déjà, nombreux sont les proches de Jacques Chirac qui ont émis à plusieurs reprises l'hypothèse d'une nouvelle candidature du président, en cas de grave crise internationale !
Or, quand un pays est en guerre, on ne change pas de « chef de guerre » sauf à s’appeler Clémenceau !
En outre, Mme Chirac souligne que son époux reste "très populaire" et qu’il est "en forme".
Interrogée sur le fait qu'après son mandat, Jacques Chirac sera membre de droit du Conseil constitutionnel et pourra y siéger, elle répond, le sourire aux lèvres : "Oui, il ira. Dans cinq ans …".
En revanche, elle indique toutefois qu'il est "trop tôt" pour évoquer une nouvelle candidature de son époux.
"On verra les choses plus nettement au premier trimestre. Quelle que soit sa décision, elle sera importante, mais ce sera la sienne. C'est une chose qu'il ne partage pas avec moi. C'est le choix d'un homme, pas d'un couple", conclut la première dame de France.
Bernadette Chirac, qui confie être "très fière d'être la femme du président de la République" et "aimer cette vie", fait valoir qu "on peut avoir des surprises".
Déjà, nombreux sont les proches de Jacques Chirac qui ont émis à plusieurs reprises l'hypothèse d'une nouvelle candidature du président, en cas de grave crise internationale !
Or, quand un pays est en guerre, on ne change pas de « chef de guerre » sauf à s’appeler Clémenceau !
En outre, Mme Chirac souligne que son époux reste "très populaire" et qu’il est "en forme".
Interrogée sur le fait qu'après son mandat, Jacques Chirac sera membre de droit du Conseil constitutionnel et pourra y siéger, elle répond, le sourire aux lèvres : "Oui, il ira. Dans cinq ans …".
En revanche, elle indique toutefois qu'il est "trop tôt" pour évoquer une nouvelle candidature de son époux.
"On verra les choses plus nettement au premier trimestre. Quelle que soit sa décision, elle sera importante, mais ce sera la sienne. C'est une chose qu'il ne partage pas avec moi. C'est le choix d'un homme, pas d'un couple", conclut la première dame de France.
VNF met en œuvre le Plan d’Aide à la Modernisation et l’Innovation 2013 – 2017 approuvé par la Commission Européenne