
Selon lui, les parrainages sont "plus difficiles" à obtenir cette année "car les élections municipales tombent juste après la présidentielle". Et compte tenu de "la publication des noms", les élus "ont peur de se brouiller avec les conseils généraux et régionaux, tenus en majorité par la gauche". Le système "n'est pas franchement démocratique" et "les partis institutionnels peuvent faire pression sur les petits candidats", a-t-il dénoncé.