« Tout devient possible » : Français et patrons circonspects
Les Français restent partagés entre Ségolène ROYAL et Nicolas SARKOZY
Les petits patrons toujours plus proches de Nicolas SARKOZY
Si le 1er tour de l’élection présidentielle avait lieu aujourd’hui, les Français placeraient Ségolène ROYAL et Nicolas SARKOZY au coude à coude, avec respectivement 27% et 28% des suffrages (contre 31% et 29% en décembre soit un changement à la première place). François BAYROU monte à 12,5% et Jean-Marie Le PEN reste stable à 11%. Dans le duel du 2nd tour, SARKOZY enregistrerait 51% des suffrages contre 49% à Royal.
Les petits patrons, en revanche, se sentent plus proches de Nicolas SARKOZY. Dans l’hypothèse où Jacques CHIRAC se lançait dans la course, Nicolas SARKOZY arriverait en tête avec 44%(-1) d’opinions favorables contre 12%(-1) pour Ségolène ROYAL. A l’instar de Jean-Marie LE PEN(+1), BAYROU atteint 11%(+3). Au second tour, François BAYROU ferait jeu égal avec Ségolène ROYAL (50%) et un 49% / 51 % lors d’un duel hypothétique avec Nicolas SARKOZY. Enfin, dans un duel Nicolas SARKOZY - Ségolène ROYAL réservé aux patrons de TPE, le premier l’emporterait avec 70% des suffrages exprimés (65% contre 35% en décembre).
Si Jacques CHIRAC se présentait pour un troisième mandat en concurrence de Nicolas SARKOZY, il recueillerait au 1er tour de l’élection présidentielle 5% des votes des Français et des patrons de TPE. Seuls 22% des Français (23% des petits patrons) considèrent que sa candidature à l'élection présidentielle "serait une bonne chose", 78% une mauvaise chose.
Les petits patrons toujours plus proches de Nicolas SARKOZY
Si le 1er tour de l’élection présidentielle avait lieu aujourd’hui, les Français placeraient Ségolène ROYAL et Nicolas SARKOZY au coude à coude, avec respectivement 27% et 28% des suffrages (contre 31% et 29% en décembre soit un changement à la première place). François BAYROU monte à 12,5% et Jean-Marie Le PEN reste stable à 11%. Dans le duel du 2nd tour, SARKOZY enregistrerait 51% des suffrages contre 49% à Royal.
Les petits patrons, en revanche, se sentent plus proches de Nicolas SARKOZY. Dans l’hypothèse où Jacques CHIRAC se lançait dans la course, Nicolas SARKOZY arriverait en tête avec 44%(-1) d’opinions favorables contre 12%(-1) pour Ségolène ROYAL. A l’instar de Jean-Marie LE PEN(+1), BAYROU atteint 11%(+3). Au second tour, François BAYROU ferait jeu égal avec Ségolène ROYAL (50%) et un 49% / 51 % lors d’un duel hypothétique avec Nicolas SARKOZY. Enfin, dans un duel Nicolas SARKOZY - Ségolène ROYAL réservé aux patrons de TPE, le premier l’emporterait avec 70% des suffrages exprimés (65% contre 35% en décembre).
Si Jacques CHIRAC se présentait pour un troisième mandat en concurrence de Nicolas SARKOZY, il recueillerait au 1er tour de l’élection présidentielle 5% des votes des Français et des patrons de TPE. Seuls 22% des Français (23% des petits patrons) considèrent que sa candidature à l'élection présidentielle "serait une bonne chose", 78% une mauvaise chose.
Thèmes de campagne : l’emploi pour les Français, la fiscalité pour les petits patrons
La première thématique attendue par les Français reste incontestablement l'emploi et le chômage (1er rang avec 36% de citations) alors que pour les patrons de TPE ce sont les questions sur l'impôt, les taxes et la dette publique qui cristallisent leurs préoccupations (44%). Si l'emploi reste une priorité forte pour les petits patrons (en 2e priorité avec 27% de citations), l'école et l'éducation et l'avenir du modèle social ne sont pas loin (23% et 22%).
Le modèle social français critiqué et jugé « en péril »
55% des Français critiquent le modèle social français qui, selon eux, fonctionne mal, même s'ils étaient encore plus sévères au lendemain du référendum en septembre 2005 (68%). Leur inquiétude est vive puisque 75% considèrent même qu'il est "en péril" (85% auprès des patrons de TPE).
Les Français et les petits patrons sont favorables à des mesures vigoureuses pour maintenir les hôpitaux en zones rurales (83% et 84%), pour imposer les quotas de logements sociaux (78% et 79%), voire même à une surtaxation des logements vacants (67% et 56%) et pour favoriser les Français défavorisés pour les prestations sociales et le logement (73% et 64%). Une majorité de Français (52%) considèrent qu'il faut supprimer "rapidement" les régimes spéciaux (65% pour les patrons).
Les Français et les petits patrons sont favorables à des mesures vigoureuses pour maintenir les hôpitaux en zones rurales (83% et 84%), pour imposer les quotas de logements sociaux (78% et 79%), voire même à une surtaxation des logements vacants (67% et 56%) et pour favoriser les Français défavorisés pour les prestations sociales et le logement (73% et 64%). Une majorité de Français (52%) considèrent qu'il faut supprimer "rapidement" les régimes spéciaux (65% pour les patrons).
Annonces du président CHIRAC : le droit opposable au logement a été entendu, la baisse de l’IS constituerait une forte incitation à l’embauche
Une majorité de Français (65%) déclarent avoir entendu parler du projet de loi sur le droit opposable au logement, ils ne sont qu'un sur deux (49%) à avoir entendu parler de son souhait de réduire l'impôt sur les sociétés et 44% de son désir de simplifier le droit du travail dans les petites entreprises. Côté petits patrons, l'écho a été quasiment le même concernant le droit au logement (65%) et plus large –concernant la baisse de l'impôt sur les sociétés (60%) et son désir de la souplesse pour les petites entreprises (56%).
La baisse de l’IS est un levier pour l’emploi. 81% des patrons de TPE y adhèrent. Elle répond, pour 67% d'entre eux, directement à leurs préoccupations et 62% d'entre eux déclarent qu'elle pourrait –en cas d'application- les inciter à embaucher.
La baisse de l’IS est un levier pour l’emploi. 81% des patrons de TPE y adhèrent. Elle répond, pour 67% d'entre eux, directement à leurs préoccupations et 62% d'entre eux déclarent qu'elle pourrait –en cas d'application- les inciter à embaucher.
Baisse du chômage : Français et patrons sceptiques
Français et patrons pensent que la baisse du chômage serait due aux radiations administratives (43% des Français, 46% des patrons), aux mouvements démographiques (26% des Français, 24% des patrons). Seuls 18% des Français et 15% des patrons pensent que c’est la hausse des emplois aidés qui l'explique en 1er lieu. Seuls 12% des Français et 14% des patrons estiment que cette baisse provient du dynamisme du secteur privé.
Méthodologie de l’Etude :
L’enquête a été réalisée par téléphone auprès de 2 échantillons distincts :
 un échantillon de 956 Français représentatif de la population âgée de 18 ans et plus selon la méthode des quotas (sexe, âge, profession) après stratification par région et catégorie d’agglomération –interrogés du 18 au 20 janvier 2007-,
 un échantillon de 502 dirigeants de TPE de 0 à 19 salariés raisonné sur les critères secteur d’activité, taille, région d’implantation –interrogés du 15 au 19 janvier 2007-
On dénombre en France 2 400 000 TPE, soit 96% des entreprises françaises. Ces 2,4 millions de patrons emploient 4 000 000 de salariés, ce qui représente 37% des emplois du secteur concurrentiel.
Flash « Election présidentielle » complète le traditionnel Baromètre des TPE, enquête trimestrielle de conjoncture auprès des patrons de TPE, ainsi que les flash TPE, autres sondages ponctuels réalisés auprès de cette population sur des sujets d’actualité.
Méthodologie de l’Etude :
L’enquête a été réalisée par téléphone auprès de 2 échantillons distincts :
 un échantillon de 956 Français représentatif de la population âgée de 18 ans et plus selon la méthode des quotas (sexe, âge, profession) après stratification par région et catégorie d’agglomération –interrogés du 18 au 20 janvier 2007-,
 un échantillon de 502 dirigeants de TPE de 0 à 19 salariés raisonné sur les critères secteur d’activité, taille, région d’implantation –interrogés du 15 au 19 janvier 2007-
On dénombre en France 2 400 000 TPE, soit 96% des entreprises françaises. Ces 2,4 millions de patrons emploient 4 000 000 de salariés, ce qui représente 37% des emplois du secteur concurrentiel.
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VNF met en œuvre le Plan d’Aide à la Modernisation et l’Innovation 2013 – 2017 approuvé par la Commission Européenne