"Vous verrez que le 22 avril, quand je serai sélectionné pour le second tour, les lignes vont se mettre à bouger dans des proportions que vous n'imaginez même pas (...)", a-t-il dit.
Le candidat et président de l'UDF a également estimé qu'un face à face avec Nicolas Sarkozy serait plus clair qu'un second tour avec Ségolène Royal.
"Contre Nicolas Sarkozy, cela renouvellerait davantage le jeu politique français et la confrontation des projets serait plus nette. Avec Ségolène Royal, je ne vois pas bien les lignes directrices de son projet. La confrontation serait moins nette", a-t-il dit.
François Bayrou a précisé qu'il n'avait "rien offert" à Dominique Strauss-Kahn, ancien ministre socialiste de l'Economie à tendance social-démocrate.
"Je m'étais borné en réponse à une question de journaliste de dire que j'avais de l'estime pour lui et je n'ai pas l'intention de retirer cette estime", a déclaré François Bayrou.