La Région Ile-de-France permet aux plus fragiles d’accéder gratuitement aux bases de loisirs régionales
Publié le 09 avril 2013 à 08:00
Alors que 4 Franciliens sur 10 ne partent pas en vacances, Jean-Paul HUCHON, Président de la Région Ile-de-France et Francis PARNY, Vice-président chargé des Sports et des loisirs, ont renouvelé ce jour la subvention de 827 000€ correspondant à plus de 90 000 tickets-loisirs
			 
			  
			 
			 D’une valeur unitaire de 9 €, les tickets-loisirs permettent aux Franciliens les plus fragiles de bénéficier d’une journée gratuite dans une base de plein air et de loisirs ou d’une participation à une activité sportive de leur choix.
			 
			  
			 
			 Pour Jean-Paul HUCHON « dans un contexte de crise où les premiers touchés sont les plus modestes, la Région, avec les tickets-loisirs, lutte contre l’exclusion des populations les plus fragiles. Ainsi les Franciliens, qui n’ont pas les moyens de partir en vacances peuvent accéder gratuitement aux bases de loisirs régionales. »
			 
			  
			 
			 L’utilité du dispositif dépasse le simple cadre social, Francis PARNY explique ainsi que « le succès du dispositif l’an dernier (en 2012, 9 tickets-loisirs sur 10 ont été utilisés) permet aussi aux bases de loisirs franciliennes d’accroître leur visibilité et de prendre toute leur part à l’action en faveur des plus défavorisés ».
			 
			  
			 
			 Cette année le dispositif permettra de renforcer la dotation en tickets loisirs aux associations caritatives et d'éducation populaire.
			 
			 Disponibles par l’intermédiaires d’organismes relais (mouvement sportif, centres sociaux, maison de quartiers, associations agissant contre la pauvreté et l’exclusion, service des sports ou de la jeunesse…), les tickets loisirs sont destinés aux Franciliens les plus fragiles :
			 
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  Préadolescents et adolescents de 11 à 17 ans, issus des territoires en difficulté sociale à titre prioritaire ;
			 
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  Familles fragilisées, notamment en situation de précarité, chômage ou rupture sociale, en priorité les familles monoparentales ;
			 
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  Jeunes de 18 à 25 ans en situation de précarité économique ;
			 
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  Personnes en situation de handicap qui fréquentent des structures d’accueil durant l’été.