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Brèves
08/07/2013

EMC au 7e rang des entreprises françaises où il fait bon travailler

EMC, société spécialiste de la gestion des données, vient d’être classée 13ème entreprise Européenne où il fait bon travailler par le palmarès Great Place To Work , 7ème en France, et 1ère en Espagne, entre autres. ‘Nous sommes extrêmement fiers de nous situer au 7e rang français des entreprises où il fait bon travailler’ affirme Michel Poinat, Directeur des Ressources Humaines EMC France ‘Nous allons continuer à trouver de nouvelles initiatives pour offrir à nos employés un environnement de travail d’exception’
BK
29/05/2013

Debout la République a lancé sa campagne des européennes pour 2014

Ce 25 mai 2013 Debout la République, le parti présidé par Nicolas Dupont-Aignan, a lancé sa campagne pour les européennes de 2014. A 1 an jour pour jour du scrutin, DLR a organisé un rassemblement dans la salle la Bellevilloise à Paris. Pour la première fois des personnalités politiques d'autres pays européens se partageaient la tribune. Paul Nuttal (le numéro 2 de UKIP au Royaume-Uni), Timo Soini (président du parti les Vrais Finlandais), et Slavi Binev (député européen bulgare) ont successivement pris la parole.
Source : DLR
28/05/2013

Le Sénat a adopté le projet de loi relatif à la refondation de l’école

Le Sénat a adopté par 176 voix contre 171, le projet de loi d’orientation et de programmation pour la refondation de l’école de la République.
BK
16/05/2013

Epidémie de dengue en Guyane

L’épidémie de dengue sévit depuis plusieurs mois en Guyane. Plus de 3000 personnes ont été contaminées à ce jour, dont 450 ont été hospitalisées. 5 décès sont à déplorer. Marisol Touraine, ministre des affaires sociales et de la santé, a décidé de mobiliser une équipe de réservistes sanitaires de l’EPRUS (Etablissement de Préparation et de Réponse aux Urgences Sanitaires) pour renforcer le centre hospitalier de Cayenne.
BK
25/04/2013

La qualité des rivières arrive sur l'iPhone

Pour la première fois en France, les données sur la qualité des eaux des rivières de Rhône-Méditerranée et de Corse peuvent être consultées depuis le bord de l’eau. Créée par l’agence de l’eau Rhône Méditerranée Corse, l’application iPhone « Qualité des rivières » permet aux pêcheurs, kayakistes, randonneurs, vacanciers de connaitre la santé des rivières.
BK
24/04/2013

41 commerçants éco-citoyens à Caen

Le 11 avril dernier, 90 personnes étaient présentes à la CCI Caen Normandie pour la remise de la distinction « Commerçant éco-citoyen » à 41 commerçants caennais.
Cette distinction permet au commerçant de communiquer auprès de ses clients sur son engagement dans la réduction des impacts environnementaux et sur le développement d’actions sociétales.
BK
17/04/2013

Lancement de la 1ère carte interactive du logement francilien

…accessible depuis www.lamaisondelimmobilier.org
Grâce à sa nouvelle carte interactive du logement francilien, la FNAIM Paris Ile de France offre à tous un moyen simple de trouver un logement en fonction des revenus disponibles et du nombre de pièce désiré. La carte inclura toute l’Ile de France d’ici la fin de l’année et pourrait, à terme, comprendre de nouvelles fonctionnalités (carte scolaire, temps de transports, etc.).
BK
17/04/2013

La mortalité routière enregistre au mois de mars un recul exceptionnel

Le nombre de morts sur les routes de France au mois de mars a baissé de 26,8%. 203 personnes sont décédées, contre 277 au mois de mars de l'année dernière. Le nombre de personnes blessées est aussi en très nette baisse (-20,9%).
BK
11/03/2013

EMC fait entrer la Bibliothèque Apostolique du Vatican dans l’ère numérique

Dans le cadre de son initiative Information Heritage, EMC soutiendra la Bibliothèque Apostolique du Vatican dans la numérisation de son catalogue de 80 000 manuscrits historiques ainsi que de 8 900 incunables. Le projet consiste en la numérisation complète de la biblioth-que, permettant ainsi de préserver 40 millions de pages via une reproduction digitale. La première étape de ce projet s’étalant sur neuf ans sera de fournir 2.8 petabytes de stockage, utilisant une variété de solutions de pointe telles que Atmos
BK
04/03/2013

La BNF lauréate du « Stanford Prize for Innovation in Research Libraries »

Aurélie Filippetti, ministre de la Culture et de la Communication, se réjouit du premier prix décerné à la Bibliothèque nationale de France par les bibliothèques de l’Université de Stanford, installée dans la Silicon Valley, aux Etats-Unis. Le jury de ce prix, destiné à récompenser l'innovation numérique dans les bibliothèques de recherche, est présidé par Lynne Brindley qui, jusqu'en 2012, était directrice de la British Library. En attribuant son prix à la bibliothèque numérique Gallica et au moteur de recherche data.bnf.fr., l’Université de Stanford, qui a participé à l’élaboration de l’Internet, rend hommage à la politique de numérisation, et de diffusion que la France mène depuis de nombreuses années pour rendre aisément accessible au plus grand nombre l’ensemble de son patrimoine culturel.
Communiqué


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Economie

Pourquoi les Allemands redoutent tant les «eurobonds»

Pour créer l'euro, en 1999, l'Allemagne a du abandonner son Deutsche Mark tant adoré. Aujourd’hui, ce pays réunifié aux contrastes assez forts veut faire partager sa crédibilité budgétaire avec ses voisins mais pour quoi ? Pour sauver la zone euro? Ce n’est pas aussi simple ni même paradoxal.



Ajouter encore des malheurs à notre pauvre Europe ?

La mise en place des «euro-obligations», les «eurobonds», n’est pas chose facile. L'enjeu est même éminemment politique ! Appelons les choses par leur nom mais qu’il s’agisse des «euro-obligations» ou des «eurobonds», la perspective semble être la même : ajouter encore des malheurs à notre pauvre l'Europe.
 
Les euro-obligations ? Elles ont, dans l’esprit de ceux qui les prônent, la qualité d’être un instrument financier mutualisé, ou, en d’autres termes, elles imposent aux uns et aux autres de faire pot commun. Ainsi, les États émettraient, ensemble, ces obligations, sur les marchés financiers, comme le fait l'État fédéral aux Etats-Unis. Les fonds ainsi récoltés serviraient alors à financer les déficits. Encore trop de pays croient à cette solidarité qui n’est pas sans rappeler un emprunt au siècle dernier et qui a ruiné bien des épargnants.
Sans polémique, donc dans la pratique, il n'y a objectivement aucune raison pour que la zone euro, au déficit 2012 à la moitié des États-Unis, n'obtienne pas des taux au moins aussi avantageux que n’en obtiennent les Américains (actuellement 1,7 % sur les obligations à dix ans). Avec cet outil, donc, on pourrait dire adieu à la crise des dettes dans toute la zone Euro ! En théorie …

Ce n’est pas une raison pour relâcher les efforts budgétaires

Les Allemands ne voient pourtant pas les choses de la même manière car ils craignent, sans foute à juste titre, que ne se mélangent bons et mauvais emprunts obligataires, les mauvais entraînant fatalement dans leur chute même ceux qui sont bons. Aujourd’hui, à Berlin, les titres d'État, donc les bunds à dix ans, sont émis à 1,47 %. Et il est naturel que nos amis d’outre-rhin redoutent d’avoir à  payer plus cher en mettant leurs dettes dans le même panier que leurs voisins !
 
Au-delà, les Allemands redoutent encore davantage que ces euro-obligations n’ouvrent la voie à un relâchement des efforts budgétaires, une forme de laxisme plutôt tentante dès lors que les disponibilités augmentent. Et cette crainte n'a rien de théorique. Il suffit, en effet, d'observer les politiques économiques parfois irresponsables conduites au lendemain de l'instauration de l'euro, notamment dans notre pays, prétextant alors que la monnaie unique servirait de «bouclier», pour voir quelles en ont été les conséquences.
 
Ce n’est qu'avec la création d'un véritable État fédéral européen, en tous pour les Allemands, que pourrait s’envisager cette mutualisation des dettes publiques. Car en procédant différemment, ce serait, en quelque sorte, mettre la charrue avant les bœufs.
Autre point d’achoppement qui agace la chancelière : François Hollande a joué sur les mots. En effet,  jusqu'au premier tour de l'élection présidentielle, le candidat devenu président défendait «les eurobonds pour financer des projets industriels d'infrastructure».
Or, c’est ce que fait la Banque européenne d'investissement, en s'endettant au nom de l'Europe, sur les marchés. Donc il y a maldonne puisque dans les faits cela n'a rien à voir avec une mutualisation des dettes d'État !
Les Tout modalités techniques du projet français restent encore floues sauf à émettre des titres épousant cette appellation d’«eurobonds», à moins d'un an, comme le recommande notamment le FMI. Il s’agirait alors d’une nouvelle forme de mutualisation, « en test » car a minima et sans grande portée. L’anticipation faite par les économistes sérieux ne vont pas, mais alors pas du tout, dans ce sens…


Jeudi 24 Mai 2012
Bernard Marx


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