Présidentielle : le vote par Internet séduit 55% des Français
Publié le 10 avril 2012 à 10:22
Et si le vote par Internet était un moyen de diminuer le taux d’abstention ?
Alors que se prépare l’élection présidentielle de 2012, Direct Assurance, n°1 de l’assurance directe, livre les résultats du volet politique de son 2ème Baromètre des Cyberconsommateurs qui – pour la première fois - révèle le rapport des Français à l’e-politique.
			 
			 55% des internautes seraient prêts à voter en ligne lors de la prochaine élection présidentielle
			 
			 De plus en plus plébiscité par les Français, le média Internet, consulté à 61% au moins deux heures par jour (en dehors de l’usage professionnel et de la consultation des e-mails), joue désormais un rôle central dans la vie sociale des internautes.
			 
			 En matière politique, 55% des internautes seraient prêts à voter en ligne pour une élection majeure. Cette possibilité permettrait sans aucun doute de minimiser le taux d’abstention.
			 
			 Il est intéressant de noter que le vote en ligne est davantage plébiscité par les 25-50 ans (à 57%), que par les 15-24 ans qui sont plutôt tranchés sur la question avec 52% d’opinions favorables.
			 
			 L’écart se creuse plus encore entre les jeunes (15-24 ans) et leurs aînés (25-50 ans) quant à la possibilité d’organiser une élection on-line : et, contre toute attente, les jeunes sont les plus sceptiques (avec 26% vs 34%) !
			 
			 En matière politique, 78% des internautes font confiance au média Internet, dont le taux de crédibilité frise les 80%, devient un média incontournable.
			 
			 D’ailleurs, 1 internaute sur 3 a déjà consulté des sites ou blogs dédiés à la politique. Surtout la tranche des 15-24 ans.
			 
			 6 internautes sur 10 estiment qu’Internet peut les aider à comparer les programmes politiques, un sentiment encore plus marqué chez les jeunes (69%).
			 
			 Cependant, en matière politique, Internet est considéré par la grande majorité (63%) des Français comme peu interactif, un média (à sens unique) qui ne permet pas vraiment d’échanger ou de converser avec les candidats à l’élection présidentielle.