Suez Environnement : contribution au sommet de Copenhague

Par Bernard M.
Publié le 14 décembre 2009 à 13:24

Faire de l’économie circulaire le modèle de développement de l’après Copenhague : mesurer, atténuer, s’adapter, voilà les trois piliers de la contribution de Suez Environnement au changement climatique.

Faire de l’économie circulaire le modèle de développement de l’après Copenhague : mesurer, atténuer, s’adapter, voilà les trois piliers de la contribution de Suez Environnement au changement climatique. Au delà d’un accord sur la réduction des gaz des à effets de serre, c’est tout un modèle de croissance qui doit être débattu à Copenhague. Suez Environnement invite à restituer le débat dans une perspective plus large d’un développement vertueux et croit en un modèle d’économie circulaire.

Débattre du changement climatique, c’est aussi prendre en compte la pression sur la ressource en eau et l’épuisement des matières premières, qui en sont les conséquences directes. Les enjeux sont vitaux et imminents dans le domaine de l’eau : survie des populations confrontées au stress hydrique, accompagnement des migrations massives vers la ressource en eau et prise en compte des besoins de l’agriculture qui représente à elle seule 70% des besoins hydriques.



Les enjeux liés aux matières premières et énergies fossiles, moins immédiats, sont pourtant cruciaux : sans réinventer un modèle moins consommateur en ressources finies, l’issue inéluctable est un épuisement des matières sur lesquelles reposent le développement des Etats et des populations.

« Je suis convaincu que Copenhague n’arrive pas trop tard, que les Etats prennent conscience de l’importance de passer d’une économie de volume à une économie de valeur mais le temps presse », affirme Jean-Louis Chaussade, Directeur Général de Suez Environnement, qui sera présent au Sommet de Copenhague le 11 décembre prochain.



« Certes, avec une population qui atteindra 9 milliards de personnes en 2050 et 40% de la population qui sera située en région de stress hydrique à horizon 2040, nous nous devons d’agir. Mais fournissons dès aujourd’hui un cadre réglementé et mondial pour mobiliser l’ensemble des acteurs de la société – Etats, entreprises, collectivités, citoyens - et nous aurons les moyens de réinventer un modèle de croissance.



A notre échelle, Suez Environnement, entreprise dépositaire d’un savoir-faire précieux dans les métiers de l’eau et des déchets se doit d’accompagner la mise en œuvre d’une économie circulaire qui est de faite, moins gourmande en ressources naturelles. . Notre mission est double, gérer les ressources qui nous sont confiées et mettre en place un modèle de développement pérenne, mais aussi économiquement et socialement acceptable ».