"On accuse au même titre les travailleurs, les consommateurs que les grandes entreprises capitalistes qui polluent (...) et on met tout le monde, en quelque sorte, dans le même sac, tous responsables", a-t-elle commenté.
Pour elle, "le travailleur qui, plutôt que de prendre un bus, un train puis un métro" pour aller travailler ne devrait pas être pénalisé par la hausse du prix des carburants s'il "préfère prendre sa voiture parce que, au moins, c'est un peu plus confortable".