Habitat Toulouse, Eco-systèmes et le Grand Toulouse proposent des solutions de collecte des appareils électriques usagés à plus de 4 300 locataires, du 18 au 20 octobre 2011

Habitat Toulouse, Office Public de l’Habitat, en partenariat avec Eco‐systèmes et le Grand Toulouse

développent de nouvelles solutions de collecte des déchets d’équipements électriques et électroniques afin

d’intégrer les habitants n’ayant pas accès un point de collecte « classique », sans avoir à être motorisé.

Quatre nouveaux points de collecte exceptionnels pour plus de 4 300 locataires d’Habitat Toulouse seront

mis en place le temps d’une journée, en pied d’immeuble, avec un seul objectif : permettre aux habitants

de bénéficier du service de collecte des DEEE pour les dépolluer et les recycler.

• Mardi 18/10 à La Faourette : Place des Iris (de 9h à 17h)

• Mercredi 19/10 à Empalot : Place Daste (de 9h à 17h)

• Jeudi 20/10 à la Gloire : Parking de la résidence la Gloire (de 9h à 17h)

• Jeudi 20/10 à Papus : Place Papus (de 9h à 17h)

Lors de ces quatre manifestations et à l’approche du passage de la région Midi‐Pyrénées au « Tout

Numérique », les habitants des quartiers de La Faourette, Empalot, La Gloire et Papus pourront déposer

leurs anciens appareils électriques usagés sur ces différents points de collecte éphémères, aménagés pour

l’occasion. De plus, les équipes de l’association d’Unis‐Cité profiteront de ces trois jours pour sensibiliser les

habitants au tri, en porte à porte.

« L’habitat vertical représente un enjeu de premier plan pour le développement de la collecte des Déchets

d’Equipements Electriques et Electroniques. La collecte sélective des DEEE ne doit pas être réservée aux seules

personnes motorisées ou aux habitants qui disposent de points de collecte à proximité immédiate de chez

eux, mais doit au contraire être accessible à tous. Les premiers résultats de nos expérimentations en zones

d’habitat vertical, et notamment dans le Nord de la France, sont très encourageants et nous confortent dans

notre volonté de déployer ces dispositifs à plus grande échelle », commente Guillaume Duparay,

Responsable du développement de la collecte chez Eco‐systèmes.