
Selon le leader centriste, "il ne peut y avoir de réforme des institutions sans les voix du PS ou celles de [son] courant politique", et par conséquent, "nous avons la clé" du scrutin sur ce dossier. De fait, les voix cumulées des députés socialistes et Modem permettraient d'atteindre les deux cinquièmes des parlementaires, seuil indispensable afin de bloquer une réforme constitutionnelle.