
"Il y a au second tour la nécessité de rassembler derrière Ségolène Royal tous ceux qui considèrent que l'élection de Nicolas Sarkozy n'est pas souhaitable pour le pays", a-t-il ajouté devant les journalistes.
A ses yeux, Michel Rocard et Bernard Kouchner, les deux dirigeants socialistes qui se sont prononcés pour un rapprochement avec l'UDF dès avant le premier tour, ont parlé "sans avoir suffisamment réfléchi".