"Je pense qu'il faudrait des débats et que les Français voudraient des débats. Je pense légitime et nécessaire qu'en tout cas les candidats principaux puissent confronter leurs points de vue", a-t-il ajouté.
Le candidat centriste a estimé que la campagne électorale montrait "de très violents affrontements" entre ses protagonistes "sans que pour l'instant on arrive à toucher le fond précis de la crise française".
Il a refusé de qualifier de "baisse" sa décrue dans les sondages. Selon une enquête LH2 publiée lundi soir, François Bayrou perd deux points pour revenir à 18% des intentions de vote.