Dans "Le Nouvel Observateur", "vous avez un article qui montre que l'entourage immédiat, au plus près de Ségolène Royal, a exigé de l'Association de maires -parce qu'on ne va pas dire des maires de France- de faire pression, de manière à ce qu'on me retire à la fois les affiches et à la fois les professions de foi", a déclaré sur Europe-1 le candidat à l'élection présidentielle, soutenu par le Parti des travailleurs.
"Donc vous voyez bien que c'est bien un complot organisé par le PS en association avec l'UMP, qui a fait que je suis de 320.000 euros de ma poche", a-t-il ajouté, précisant qu'au "départ, c'est le PS".
Par ailleurs, Gérard Schivardi s'en est pris à Ségolène Royal, estimant "qu'elle ne représente pas ce qu'est le vrai socialisme". "Le vrai socialiste c'est celui qui a comme principal souci le monde ouvrier", a-t-il affirmé.
Il a également dit se sentir "visé" par les propos de la veille de Jean-Marie Le Pen, qui avait déclaré que Nicolas Sarkozy était un candidat qui "vient de l'immigration". "Je me suis senti visé, c'est vrai, je suis petit-fils d'immigrés italiens. Ça fait mal quelque part", a-t-il observé.
"Donc vous voyez bien que c'est bien un complot organisé par le PS en association avec l'UMP, qui a fait que je suis de 320.000 euros de ma poche", a-t-il ajouté, précisant qu'au "départ, c'est le PS".
Par ailleurs, Gérard Schivardi s'en est pris à Ségolène Royal, estimant "qu'elle ne représente pas ce qu'est le vrai socialisme". "Le vrai socialiste c'est celui qui a comme principal souci le monde ouvrier", a-t-il affirmé.
Il a également dit se sentir "visé" par les propos de la veille de Jean-Marie Le Pen, qui avait déclaré que Nicolas Sarkozy était un candidat qui "vient de l'immigration". "Je me suis senti visé, c'est vrai, je suis petit-fils d'immigrés italiens. Ça fait mal quelque part", a-t-il observé.
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