"Il y a une droitisation de la politique française, et le rapport de force ne laisse plus à la gauche qu'une place modeste", explique le président du FN.
"En plus, les six candidats d'extrême gauche sont en train de faire une remontée spectaculaure. Il risque donc d'arriver à Mme Royal ce qui est arrivé à M. Jospin en 2002", lorsque le candidat PS n'avait pas accédé au second tour, qui avait vu s'affronter Jacques Chirac et Jean-Marie Le Pen.