Priorité : se remettre au travail
"La priorité, c'est de se remettre au travail sérieusement (...) Je suis favorable à une refondation du Parti socialiste sur la base de ce qui se fait dans d'autres pays d'Europe. Car on ne pourra pas être les derniers révolutionnaires qui maintiennent en vie des partis ou des groupuscules qui ne représentent qu'eux-mêmes", a déclaré M. Forni sur la chaîne parlementaire de l'Assemblée LCP.
Pour l'ancien député du Territoire de Belfort, "dès les élections législatives passées, quel que soit le résultat, il faut se mettre au travail avec un nouveau responsable au Parti socialiste".
"Je pense malheureusement que le temps de François Hollande est passé (...) On ne pourra pas maintenir les choses en l'état, cela me paraîtrait suicidaire", a-t-il dit.
S'agissant de la révision envisagée de la Constitution en vue de permettre au chef de l'Etat de s'exprimer devant la représentation nationale au moins une fois par an, l'ancien président de l'Assemblée s'est montré peu enthousiaste.
"C'est une réforme qui donne peut-être une touche de présidentialisation au régime, mais n'ajoute pas grand chose au pouvoir de l'Assemblée et aux liens qui existent entre le pouvoir exécutif et le pouvoir législatif (...) Si la déclaration n'est pas suivie de débat, cela ne sert à rien", a ajouté M. Forni.
"La priorité, c'est de se remettre au travail sérieusement (...) Je suis favorable à une refondation du Parti socialiste sur la base de ce qui se fait dans d'autres pays d'Europe. Car on ne pourra pas être les derniers révolutionnaires qui maintiennent en vie des partis ou des groupuscules qui ne représentent qu'eux-mêmes", a déclaré M. Forni sur la chaîne parlementaire de l'Assemblée LCP.
Pour l'ancien député du Territoire de Belfort, "dès les élections législatives passées, quel que soit le résultat, il faut se mettre au travail avec un nouveau responsable au Parti socialiste".
"Je pense malheureusement que le temps de François Hollande est passé (...) On ne pourra pas maintenir les choses en l'état, cela me paraîtrait suicidaire", a-t-il dit.
S'agissant de la révision envisagée de la Constitution en vue de permettre au chef de l'Etat de s'exprimer devant la représentation nationale au moins une fois par an, l'ancien président de l'Assemblée s'est montré peu enthousiaste.
"C'est une réforme qui donne peut-être une touche de présidentialisation au régime, mais n'ajoute pas grand chose au pouvoir de l'Assemblée et aux liens qui existent entre le pouvoir exécutif et le pouvoir législatif (...) Si la déclaration n'est pas suivie de débat, cela ne sert à rien", a ajouté M. Forni.
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