Interrogé sur Europe 1, l'ancien conseiller de François Mitterrand a en revanche expliqué qu'il n'était pas intéressé par un poste ministériel au sein d'un gouvernement Fillon II, qui doit être étoffé après les élections législatives.
« Je n'ai jamais dans ma vie personnelle ni publique accepté ce genre de fonction que je trouve magnifique, mais qui ne correspond pas à mon destin personnel », a-t-il déclaré. S'il n'a « pas encore » accepté la mission que lui propose le nouveau chef de l'État, il admet en parler avec lui.
« Je laisserai, si elle se confirme, le soin au président de la République de le faire savoir », a-t-il ajouté.
« C'est une mission de politique étrangère qui sera tout à fait importante si elle se fait, mais qui ne sera ni une activité à plein-temps ni autre chose que la remise d'un rapport pour aider mon pays en général à faire mieux ce qu'il doit faire en politique étrangère », a précisé Jacques Attali.
« Je n'ai jamais dans ma vie personnelle ni publique accepté ce genre de fonction que je trouve magnifique, mais qui ne correspond pas à mon destin personnel », a-t-il déclaré. S'il n'a « pas encore » accepté la mission que lui propose le nouveau chef de l'État, il admet en parler avec lui.
« Je laisserai, si elle se confirme, le soin au président de la République de le faire savoir », a-t-il ajouté.
« C'est une mission de politique étrangère qui sera tout à fait importante si elle se fait, mais qui ne sera ni une activité à plein-temps ni autre chose que la remise d'un rapport pour aider mon pays en général à faire mieux ce qu'il doit faire en politique étrangère », a précisé Jacques Attali.
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