Le fait que les sympathisants socialistes se sentent moins incités à aller voter que ceux de l'UMP (78% au lieu de 92%) montre que les difficultés de la campagne de Ségolène Royal restent présentes dans les esprits, ajoute-t-il.
Les personnes interrogées déclarent parler avant tout des propositions des candidats (39%) plutôt que de leur personnalité (20%) ou des anecdotes de la campagne (6%).
Le suivi de la campagne s'accompagne d'un "degré élevé de certitude" quant au choix du candidat du premier tour. Plus de la moitié des inscrits (55%) se disent sûrs de ne pas changer d'avis et 25% sont sûrs mais peuvent encore changer d'avis.
Ce sondage a été réalisé les 26 et 27 février auprès d'un échantillon de 954 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.