La police judiciaire a toutefois affirmé qu'à ce stade de l'enquête, le meurtre commis à Paris n'avait pas de caractère raciste, même si l'agresseur avait appartenu au groupe d'extrême droite Unité radicale, aujourd'hui dissous.
Là, un jeune homme qui n'était pas au départ partie prenante dans les injures aurait tué d'un coup de couteau un jeune homme de 26 ans qui se tenait en retrait et "cherchait l'apaisement".
"Les premiers éléments de l'enquête montrent qu'il ne s'agit pas d'un geste raciste", a ajouté le porte-parole. L'agresseur, âgé de 28 ans, a été placé en garde à vue.
Pour sa part, SOS Racisme souligne qu'à Compiègne, également dimanche soir, un homme a été arrêté après avoir tiré avec une carabine 22 long rifle sur cinq personnes noires, blessant deux d'entre elles. Il aurait justifié son geste par sa "rancoeur envers les étrangers".
L'association rappelle s'être inquiétée d'un "retour des crimes racistes" après la séquestration et le meurtre d'Ilan Halimi en février dernier dans la banlieue de Paris.
"Il est urgent qu'un sursaut populaire vienne à nouveau manifester le fait que nous sommes majoritaires dans ce pays à vouloir vivre ensemble", écrit SOS Racisme.
Là, un jeune homme qui n'était pas au départ partie prenante dans les injures aurait tué d'un coup de couteau un jeune homme de 26 ans qui se tenait en retrait et "cherchait l'apaisement".
"Les premiers éléments de l'enquête montrent qu'il ne s'agit pas d'un geste raciste", a ajouté le porte-parole. L'agresseur, âgé de 28 ans, a été placé en garde à vue.
Pour sa part, SOS Racisme souligne qu'à Compiègne, également dimanche soir, un homme a été arrêté après avoir tiré avec une carabine 22 long rifle sur cinq personnes noires, blessant deux d'entre elles. Il aurait justifié son geste par sa "rancoeur envers les étrangers".
L'association rappelle s'être inquiétée d'un "retour des crimes racistes" après la séquestration et le meurtre d'Ilan Halimi en février dernier dans la banlieue de Paris.
"Il est urgent qu'un sursaut populaire vienne à nouveau manifester le fait que nous sommes majoritaires dans ce pays à vouloir vivre ensemble", écrit SOS Racisme.
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