En conséquence, une personne diplômée ne pourra plus recourir à ce dispositif. Mais contrairement à ce qui était envisagé il y a un mois, les ministres ne souhaitent plus imposer de seuil minimal (360 euros) de gratification pour les stages de plus de trois mois.
Ce document, qui fera l'objet d'un décret à paraître avant juin, va placer le jeune dans un parcours d'acquisition de connaissances. Le stage ne pourra plus être assimilé à un emploi. La convention constituera un moyen de combattre les pratiques abusives", explique Gérard Larcher.
Le ministre précise que cette mesure "ne doit toutefois pas limiter le nombre de stages". "Notre objectif est que tous les étudiants en effectuent au moins un par année. L'objectif du nombre de stages à développer dans les prochaines années se compte donc en millions", dit-il.