"L'Assemblée nationale n'aura pas d'autre rôle, en raison du poids écrasant du parti majoritaire, que d'adopter le plus vite possible, sans contradiction, sans débat, les textes qui lui seront soumis", a-t-il souligné.
Si Nicolas Sarkozy a gagné le 6 mai, "il n'est pas vrai que son programme ait été point par point avalisé par les électeurs".