Tout cependant devrait aller très vite puisque l’adoption du nom et du sigle seraient programmées pour le 12 décembre, date du prochain conseil national du parti.
Il faudra cependant que le sigle et les biens de l'UDF, actuellement en possession d’une association « noyautée » par des membres du MoDem et quelques centristes proches du sénateur Jean Arthuis en acceptent l’augure. Et si Hervé Morin s’est lancé dans cette « chasse à l’actif » c’est parce qu’il considère, études à l’appui, que l'UDF bénéfice toujours d'une notoriété intacte, de quoi donc doper les scores électoraux des candidats.