Alain Juppé, lui a dessiné "le contour de ce qui sera la majorité présidentielle" de Nicolas Sarkozy en expliquant quelle serait formée de "la totalité des forces de l'UMP, les trois quarts des parlementaires UDF et quelques personnalités de gauche".
Interrogé sur la principale qualité du candidat de l'UMP, Alain Juppé a évoqué "la capacité de parler vrai" et refusé "par élégance" de citer le principal défaut de Ségolène Royal. François Hollande a lui jugé que "le défaut de Nicolas Sarkozy, c'est qu'il dit ce qu'il pense, ce qui veut dire qu'il fera ce qu'il dit, et c'est suffisamment inquiétant pour s'en alarmer aujourd'hui".