gouvernement - qui devait être remanié mercredi - pour permettre à la France de sortir «plus forte» de la crise, lors d'une allocution devant le Congrès. Avec en point e mire que les électeurs ne seraient appelés aux urnes qu'une seule fois pour élire des conseillers communs entre conseils régional et général. Le chef de l’Etat considère en outre que ces conseillers communs, raisonnablement, auront à cœur de mieux coordonner l'action du conseil régional et celle du conseil général
Et, sans surprise, la réforme de la taxe professionnelle, sera menée à terme, le président s'est contenté de le confirmer.
Par ailleurs, le secrétaire d'Etat à l'Intérieur et aux Collectivités territoriales Alain Marleix, avait donné quelques jours plus tôt, devant l'Association des maires de Corrèze, quelques précisions sur la question des conseillers territoriaux à savoir que « la création d'un mandat commun serait un signal fort envoyé à nos concitoyens sur la simplification car les électeurs ne seraient appelés aux urnes qu'une seule fois pour élire des conseillers communs entre conseils régional et général » tout en précisant que l’« on peut par ailleurs raisonnablement penser que ces conseillers communs auraient à cœur de mieux coordonner l'action du conseil régional et celle du conseil général. Plusieurs modes de scrutin sont envisageables».
Le secrétaire d'Etat a donc souhaité, «à titre personnel, que le mode de scrutin retenu maintienne un fort ancrage local pour ces élus en milieu rural. Et à ce titre, le canton, obligatoirement redessiné, compte tenu des écarts démographiques entre départements, semble le seul de nature à garantir que le conseiller territorial connaîtra bien nos campagnes et sera véritablement présent, même si en milieu urbain d'autres solutions restent possibles, dont le scrutin proportionnel».
Le texte intégral du discours du président de la République est disponible à l’adresse :
http://www.elysee.fr/download/?mode=press&filename=22_06_Congres.pdf
Et, sans surprise, la réforme de la taxe professionnelle, sera menée à terme, le président s'est contenté de le confirmer.
Par ailleurs, le secrétaire d'Etat à l'Intérieur et aux Collectivités territoriales Alain Marleix, avait donné quelques jours plus tôt, devant l'Association des maires de Corrèze, quelques précisions sur la question des conseillers territoriaux à savoir que « la création d'un mandat commun serait un signal fort envoyé à nos concitoyens sur la simplification car les électeurs ne seraient appelés aux urnes qu'une seule fois pour élire des conseillers communs entre conseils régional et général » tout en précisant que l’« on peut par ailleurs raisonnablement penser que ces conseillers communs auraient à cœur de mieux coordonner l'action du conseil régional et celle du conseil général. Plusieurs modes de scrutin sont envisageables».
Le secrétaire d'Etat a donc souhaité, «à titre personnel, que le mode de scrutin retenu maintienne un fort ancrage local pour ces élus en milieu rural. Et à ce titre, le canton, obligatoirement redessiné, compte tenu des écarts démographiques entre départements, semble le seul de nature à garantir que le conseiller territorial connaîtra bien nos campagnes et sera véritablement présent, même si en milieu urbain d'autres solutions restent possibles, dont le scrutin proportionnel».
Le texte intégral du discours du président de la République est disponible à l’adresse :
http://www.elysee.fr/download/?mode=press&filename=22_06_Congres.pdf
Candidat libre, pour une métropole libre !