"Ce seront des vrais secrétaires d'Etat, comme autrefois, c'est-à-dire des collaborateurs des ministres, qui n'assisteront pas au Conseil des ministres", a-t-il argué devant environ 300 personnes réunies au centre culturel de Loué pour sa première réunion publique dans sa circonscription, où il a été candidat -avec succès- à chaque scrutin depuis 1981.
Contrairement à ce qui se passe "depuis 25 ans", "il faut que le Conseil des ministres redevienne un lieu où l'on débat, où des hommes et des femmes venus d'horizons différents peuvent s'exprimer, peuvent dire par exemple qu'ils ne sont pas d'accord avec une mesure proposée par un autre", a-t-il dit.