
Or, selon son procès-verbal d'interrogatoire publié dans Paris-Match à paraître jeudi, le général Rondot aurait dit aux magistrats que l'ex-Premier ministre aurait donné son accord pour la destruction de ces mêmes notes, dans lesquelles il est largement cité. Devant les juges, le général Rondot a dit avoir été "abattu" en apprenant les manoeuvres.