
En effet, selon lui, ONG et associations ont découvert jeudi que l'on avait introduit dans les discussions "des personnes morales supplémentaires". Cela signifie que "Jean-Louis Borloo ne va pas pouvoir résister aux grands lobbies", a-t-il dit, citant ceux du nucléaire, des semenciers, de l'agriculture, des infrastructures routières...
"On ne peut pas parler d'un Grenelle de l'environnement, en disant +on met tout à plat+, tout en expliquant qu'il y a un certain nombre de choses dont on ne discutera pas, qui sont les choses essentielles pour le développement durable et la lutte contre l'effet de serre", a encore affirmé le député Verts.