« lorsque la modernité arrive dans le monde rural, la ruralité est sauvée»
Trois ans après la signature de la charte « Département innovant » passée entre le Conseil général et France Télécom, 123 zones locales sont raccordées à l’ADSL et 95,1% des Lot-et-Garonnais accèdent aujourd’hui à Internet haut débit. Cette convention avait pour objectif d’accélérer le déploiement du haut débit sur le territoire, d’apporter des services très haut débit aux zones d’activités économiques locales et de développer les usages innovants des technologies de l’information et de la communication.
Si Casteljaloux a été choisi pour accueillir cette célébration, c’est notamment parce que la ville est emblématique du secteur rural. Aussi, si son maire a misé sur le développement des services, dont le tourisme, pour donner un nouvel essor à sa cité ; l’ADSL apporte, selon lui, des solutions en terme de création de nouveaux marchés, de développement du télétravail et de la formation à distance et accélère la mise en place des téléprocédures. En somme Internet serait le plus puissant outil de développement rural que l’on ait connu.
Il a ensuite donné la parole au président du Conseil général qui a rappelé qu’avant l’adoption de la charte, le département avait pris du retard concernant le haut débit parlant « de situation de rupture numérique du Lot-et-Garonne ». Si la couverture en Internet haut débit concerne aujourd’hui 50 000 foyers lot-et-garonnais, on compte encore 12 000 abonnés du téléphone (particuliers et entreprises confondus) qui ne sont pas desservis par l’ADSL, soit pour des raisons d’éloignement par rapport aux nœuds de raccordement ou d’incompatibilité de leur équipement avec l’ADSL. Pour assurer la couverture de ces zones « blanches », le président du Conseil général a annoncé la mise en place d’un plan complémentaire utilisant la technologie hertzienne WiMax (technologie de transmission de données à haut débit qui utilise les ondes radio), dont la licence d’utilisation a été cédée au Lot-et-Garonne par la région Aquitaine. Deux pays se sont déjà engagés dans cette voie et portent ce projet, le pays d’Albret et celui du Lot.
Les témoignages de Lot-et-Garonnais en faveur de l’arrivée du haut débit, tel un maire qui apprécie de pouvoir communiquer avec ses administrés et télécharger rapidement des données ou encore un responsable de maison de retraite, dont les résidents utilisent Internet pour dialoguer avec leur famille, ont permis à Michel Diefenbacher de conclure : « lorsque la modernité arrive dans le monde rural, la ruralité est sauvée».
Si Casteljaloux a été choisi pour accueillir cette célébration, c’est notamment parce que la ville est emblématique du secteur rural. Aussi, si son maire a misé sur le développement des services, dont le tourisme, pour donner un nouvel essor à sa cité ; l’ADSL apporte, selon lui, des solutions en terme de création de nouveaux marchés, de développement du télétravail et de la formation à distance et accélère la mise en place des téléprocédures. En somme Internet serait le plus puissant outil de développement rural que l’on ait connu.
Il a ensuite donné la parole au président du Conseil général qui a rappelé qu’avant l’adoption de la charte, le département avait pris du retard concernant le haut débit parlant « de situation de rupture numérique du Lot-et-Garonne ». Si la couverture en Internet haut débit concerne aujourd’hui 50 000 foyers lot-et-garonnais, on compte encore 12 000 abonnés du téléphone (particuliers et entreprises confondus) qui ne sont pas desservis par l’ADSL, soit pour des raisons d’éloignement par rapport aux nœuds de raccordement ou d’incompatibilité de leur équipement avec l’ADSL. Pour assurer la couverture de ces zones « blanches », le président du Conseil général a annoncé la mise en place d’un plan complémentaire utilisant la technologie hertzienne WiMax (technologie de transmission de données à haut débit qui utilise les ondes radio), dont la licence d’utilisation a été cédée au Lot-et-Garonne par la région Aquitaine. Deux pays se sont déjà engagés dans cette voie et portent ce projet, le pays d’Albret et celui du Lot.
Les témoignages de Lot-et-Garonnais en faveur de l’arrivée du haut débit, tel un maire qui apprécie de pouvoir communiquer avec ses administrés et télécharger rapidement des données ou encore un responsable de maison de retraite, dont les résidents utilisent Internet pour dialoguer avec leur famille, ont permis à Michel Diefenbacher de conclure : « lorsque la modernité arrive dans le monde rural, la ruralité est sauvée».
MGP : Philippe Laurent s’engage pleinement à faire réussir la Métropole du Grand Paris