Les professionnels de l’éolien espéraient la concrétisation rapide de mesures d’urgence annoncées par le gouvernement. Ces mesures devaient être mise en oeuvre par la proposition de loi sur la tarification progressive de l’énergie. Mais la tournure que prennent les discussions au Sénat fait craindre une paralysie. France Energie Eolienne appelle l’ensemble des partis à la clairvoyance pour permettre à la filière de redémarrer.
Les discussions sur la proposition de loi visant à préparer la transition vers un système énergétique sobre deviennent de plus en plus critiques au Sénat. Le texte risque maintenant
d’être rejeté par la chambre haute suite au dépôt par le groupe communiste et son adoption grâce aux voix de la droite et du centre d’une motion d’exception d’irrecevabilité.
Cette motion critique certains dispositifs de la tarification progressive de l’énergie quant à leur compatibilité avec la Constitution. Elle sera discutée à l’ouverture de la séance publique prévue le 31 octobre. Son adoption provoquerait la fin de l’examen au Sénat et le texte devrait alors à nouveau être soumis à l’Assemblée nationale.
France Energie Eolienne espérait une mise en oeuvre rapide des mesures annoncées par le gouvernement lors de la conférence environnementale. Les minces espoirs des professionnels semblent maintenant compromis. La mise en oeuvre des mesures sera, au mieux, décalée dans le temps. Pourtant, le secteur éolien est à l’arrêt, les 11 000 emplois de la filière sont menacés et les professionnels s’inquiètent.
Les discussions sur la proposition de loi visant à préparer la transition vers un système énergétique sobre deviennent de plus en plus critiques au Sénat. Le texte risque maintenant
d’être rejeté par la chambre haute suite au dépôt par le groupe communiste et son adoption grâce aux voix de la droite et du centre d’une motion d’exception d’irrecevabilité.
Cette motion critique certains dispositifs de la tarification progressive de l’énergie quant à leur compatibilité avec la Constitution. Elle sera discutée à l’ouverture de la séance publique prévue le 31 octobre. Son adoption provoquerait la fin de l’examen au Sénat et le texte devrait alors à nouveau être soumis à l’Assemblée nationale.
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